Hi guys c’est encore moi, pour un nouveau sujet sur un nouveau thème.
Okay je vous l’accorde ce sujet risque de n’avoir aucun lien avec notre voyage mais il me semblait important de vous en parler.
C’est comme si je vivais une nouvelle vie, avec une autre perception des choses et même des aliments.
Je vivais un amour, une relation très dangereuse avec le tabac. Un amour à sens unique dans lequel, j’étais la seule perdante. Pensez-vous sérieusement que le tabac en avait, quelque chose à foutre de ma vie et de ma santé? Tant que j’en consommer et nourrissait, le petit monstre qui était en moi…
« L’amour c’est comme une cigarette, ça brûle et ça nous monte à la tête. Quand on ne peut plus, s’en passer. » Tout ce que j’ai réussi à brûler du temps où je fumer, était mes économie et mes poumons. Presque la moitié, de mon budget y passer. Pourtant je ne me considérerais pas, comme une grosse fumeuse. J’en étais à 5 ou 6 cigarettes par jour, mais cela ne m’excuse en rien. J’ai rencontré ici en Californie, une femme qui elle ne fumer pas moins 36 par jour. J’avais tout simplement de la peine pour elle, mais bizarrement j’arrivais à la comprendre.
J’avais déjà essayé à plusieurs reprises d’arrêter de fumer, d'abord parce que j’en avais envie. Mais ma seule volonté n’a pas suffit, car je n'étais pas suffisamment prête. Puis il y’a eu cette fois, où je devais me faire opérer. Mais pour cette intervention il me fallait arrêter la cigarettes, au moins 1 mois avant la date d’opération. J’ai essayé tant bien que mal d’arrêter, mais mes vieux démons refaisaient surface dès que j’avais le dos tournée... Si je n’arrivais pas à arrêter le tabac même pour des raisons medical, pour quel raison y arriverais-je ? Au finale je me suis quand même faite opérer, bien entendue mon chirurgien n’en savais rien. Mais à ce moment là je m’étais, clairement ma santé en danger. Et je n'étais pas assez consciente, du mal que je m’infliger à moi même.
Le début de la fin
Le début de la fin de notre relation avec le tabac, était assez bizarre. C’était du je t’aime, mais je n’en suis plus s’y sûr. Sauf que le petit monstre à l’intérieur de moi, me forcer à me persuader que j’avais absolument besoin d’une cigarettes dans ma vie. « Bien sûr juste une cigarettes et encore une autre, puis juste une dernière pour la route. Ça n’a jamais tué personne tout le monde le sais ça. »
L’amour c’est comme, une cigarettes… Non stop! La cigarette c’est comme être en couple avec un pervers narcissique. Quelqu’un qui vous tient par les sentiments, qui vous rabaisse, qui vous maltraite, qui vous usent. Et qui finit même par vous tuer, si vous ne vous en détacher pas à temps.
A chaque fois que j’en allumais une nouvelle, je me disais j’espère que cette cigarette sera la dernière. Et en me répétant cette phrase à chaque fois, mon cerveau inconsciemment commencer à enregistrer le message. Du coup petite à petit chaque bouffée de cigarette me semblait comme un calvaire. Inhaler cette fumée toxique me dégoûter, de plus en plus. Mais à quel moment de ma vie j’ai pu m’imaginer, que le tabac était bon pour moi et qu’on vivait une relation scène? Mais pourtant jamais, je n'aurais cru qu’il serait si facile de rompre.
Je suis désolée de vous décevoir si vous vous attendez à ce, que je vous révèle la solution miracle. Ou encore à un remède de grand mère, pour arrêter définitivement la cigarette. Je suis bien navré de vous dire que non, désolée ce n'est pas ce genre d’article. Et je pense que la solution miracle existe pas vraiment. Ici je partage tout simplement une expérience, mon expérience avec vous.
Si me lire vous donne le courage d’enfin dire stop au tabac, ça sera pour vous le début d’une nouvelle vie.
C‘était la dernière
La dernière cigarette, je l’ai presque fumer par obligation. Par obligation de finir mon paquet, par obligation de fumer une cigarette, par obligation d’être une fumeuse? Je ne sais pas mais ce fut la dernière. En temps normal arrivé à la fin de mon paquet, m’aurais fait paniquer. J’aurais littéralement couru au tabac en chercher un autre, avant d’être obligé de supplié mes collègues pour qu’ils m’en dépanne une. Seulement cette fois c’était la dernière, le dernier paquet et le début d’un nouveau souffle.
J’avais une fois regarder le témoigne d’une femme qui avait arrêter de fumer depuis 2 ans. Elle m’avais assez intégré, Car elle disait que depuis qu’elle avait arrêté de fumer, c’est comme si elle retrouver la vrai saveur des aliments. J’avais peine à croire qu’une simple cigarette pouvait altérer, dénaturer le goût de ma salade. Mais pourtant après seulement 1 mois sans tabac, mes frites me semblait tellement salé. « Et ce steak mon dieu, qui a renversé le pot de sel dessus? » « Mais pourquoi ce café, est aussi sucré? » C’était tout simplement, le goût des aliments qui me revenait. Pourtant jamais j’aurais n’aurais cru la cigarette, être coupable d’une tel chose. Me retirer le goût des aliments, en faite la cigarette m’avais presque tout pris.
Je ne suis pas là pour faire le travail de l’état, mais jamais on vous conseillerais vraiment d'arrêter de fumer... On vous le suggère délicatement, sur un paquet de cigarettes en disant « Fumer tue ». Mais quand on fume depuis plus de 6 ans et qu’il ne nous est jamais rien arrivé, difficile de croire que fumer tue. Même moi je n’y croyais pas.
La rupture
Depuis notre rupture, c’est bête mais je re vie. Je n’est plus cette odeur, de tabac froid qui me poursuit à longueur de journée. Mes doigts sentent la rose, et mon haleine me dis enfin merci
Je me remercie moi meme d’avoir pu dire stop, stop au tabac, et un grand STOP à cette relation toxique.
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